Travaux non réalisés dans certaines cellules, absence de nettoyage… Le juge des référés du Tribunal Administratif de Nice ordonne au ministère de l'Intérieur le versement d'une astreinte de 5000 euros pour ne pas avoir exécuté certaines de ses obligations après une première condamnation en avril 2023. En octobre 2013, le contrôleur général des lieux de privation de liberté avait rendu un rapport auquel "l'administration n'a pas remédié depuis", précisent les juges des référés.