Le 3 janvier 2022, une femme porte plainte pour viol contre un gendarme de la brigade de Rives-en-Seine qui venait de l'entendre pour des faits de conduite sans permis. Celui-ci se serait présenté à sa porte en tenue professionnelle prétextant des « prélèvements ADN vaginaux », avec un kit de prélèvements, avant une relation sexuelle dont la plaignante « psychologiquement fragile » ne se souvient pas. Le gendarme défend d'une rencontre « fortuite » et une relation consentie.
Après la plainte, le gendarme est immédiatement radié et placé en détention provisoire. Le 9 janvier 2024, il est condamné pour « viol » par la cour criminelle de Rouen à douze ans de réclusion. Il a fait appel.
Il avait été précédemment sanctionné pour misogynie en école de gendarmerie. De 2019 à 2021, il a été suspendu puis muté à Rives-en-Seine pour des accusations d'harcèlement sexuel sur une collègue, pour lesquelles il a été innocenté par le tribunal correctionnel.