Un policier demande à HRO de quitter ce terrain, qui est privé, et nous demande si on a l’autorisationde la propriétaire des lieux pour accéder. HRO lui fait remarquer que ce n’est pas écrit que c’est privé.
Entrave à l'observation
un policier et un traducteur s’approchent d’un couple qui ne s’est pas déplacé. Le policier regarde à l’intérieur de leur tente. Le policier et le traducteur parlent au couple.
HRO demande pourquoi, dans le cadre de la flagrance, des effets personnels sont saisies. Le policier refuse de répondre et dit à HRO de contacter le parquet de Boulogne. Le chef d’opération dit à son collègue (celui avec qui HRO parlait juste avant) : “t’as parlé avec tes copines ?”. En discutant avec les habitants, HRO découvre que plusieurs d’entre eux se sont fait écrire au feutre noir un numéro sur la main, disent que la police les a numérotés comme ça, quand elle les a empêchés d’aller en Angleterre.
(*) Les affaires, si elles ne sont pas détruites ou abimées lors de l'opération, sont très difficilement récupérables par les personnes exilées.
Un policier demande à HRO de quitter ce terrain, qui est privé, et nous demande si on a l’autorisationde la propriétaire des lieux pour accéder. HRO lui fait remarquer que ce n’est pas écrit que c’est privé.
un policier et un traducteur s’approchent d’un couple qui ne s’est pas déplacé. Le policier regarde à l’intérieur de leur tente. Le policier et le traducteur parlent au couple.
HRO demande pourquoi, dans le cadre de la flagrance, des effets personnels sont saisies. Le policier refuse de répondre et dit à HRO de contacter le parquet de Boulogne. Le chef d’opération dit à son collègue (celui avec qui HRO parlait juste avant) : “t’as parlé avec tes copines ?”. En discutant avec les habitants, HRO découvre que plusieurs d’entre eux se sont fait écrire au feutre noir un numéro sur la main, disent que la police les a numérotés comme ça, quand elle les a empêchés d’aller en Angleterre.