Le 22 mars à Nice, un policier aurait refusé de prendre la plainte d'un référent de STOP homophobie agressé par plusieurs individus dans un bar, selon l'association. Un agent lui aurait conseillé de revenir le lendemain matin, affirmant ne pouvoir enregistrer que les plaintes pour violences conjugales. Le référent, victime d’un traumatisme crânien, facial et psychotraumatisme, a pu déposer plainte le lendemain après avoir passé la nuit en soins aux urgences.
Contacté, le commissariat a expliqué ne prendre la nuit que les plaintes « urgentes », incluant en effet les violences conjugales, mais aussi les agressions physique graves, en fonction de la charge. « Il n'y a qu'un seul agent, il ne peut pas gérer en même temps l'accueil et la prise de plainte. »