À Beauvais le 14 février 2024, deux policiers accusent Jessy de les avoir poussé en fuyant un contrôle. En chutant, l'un se fait une entorse et se voit délivrer 45 jours d’ITT. Mais une vidéo prise par une voisine ne montre aucune violence. Le 23 février, Jessy est relaxé par le tribunal de Beauvais. Devant les images, le procureur se dit « trahi » et reproche au contraire les balayettes des fonctionnaires, « il aurait pu se fracasser le crâne en tombant ».
L'Oise Hebdo évoque la possibilité de sanctions disciplinaires pourraient suivre et d'une enquête judiciaire judiciaire. Contacté, le parquet n'a pas souhaité répondre.