Faits rapportés auprès du CAD :
Destruction des effets personnels des exilés
« Je vis ici depuis 2016. Environ une fois par an, je reviens et toutes mes affaires sont parties. La police casse tout ou emmène tout je ne sais pas… En tous cas quand je reviens je n’ai plus rien et je dois tout refaire… Après j’ai de la chance ils ne m’ont jamais tapé, donc ça va. Du coup je me débrouille. Pour la nourriture il y a des associations qui passent et qui donnent de bons repas ! Et sinon je bouge, je vais acheter du pain quand je peux, ce genre de choses.” (Victime)