Dans la nuit du 1er au 2 juillet, un policier de la BAC fait usage de son LBD sur Hedi. Il est frappé à la tête à une distance rapprochée, d'après les images de vidéosurveillances révélées par Médiapart, avant d'être « tabassé » et « laissé pour mort ». Il souffre d'un grave traumatisme crânien ayant nécessité une craniotomie, avec plus de 60 jours d’arrêt de travail à la clef.
En juillet 2024, une expertise médicale suggère que son traumatisme crânien n'aurait pas été causé par le tir de LBD mais par les nombreux coups, notamment de matraque, donnés par les policiers