Le soir du 30 mai près de la gare Saint-Lazare, après un rassemblement dénonçant les bombardements à Rafah, un policier stagiaire de la BRAV-M muni de gants coqués inflige un coup-de-poing au visage d'un des manifestants. Sa tête cogne contre le mur. Un geste pouvant constituer des violences volontaires avec arme par personne dépositaire de l'autorité publique.