Les CRS ont fait un controle d'identité sur les deux membres d'HRO présents sur le terrain.
Un CRS (celui qui a arreté les bénévoles britannique et qui a agressé l'une entre eux le 17 novembre, demande à un membre s’il a des stupéfiants sur lui, puis lui demande ses papiers et de vider ses poches. Il lui baisse son pantalon à la moitié du caleçon et lui touche l’ensemble du torse sous ses vêtements. La carte d’identité du premier membre est passé au NEO. Le CRS commence à énumérer tout haut son casier judiciaire, de façon très humiliante et demande des explications. Il demande ensuite l’adresse du membre HRO en question, puis son travail et entre dans les détails. Un autre CRS ne cesse de se placer à côté d'elle pour regarder son téléphone. Elle doit alors dire qu’elle documente la situation et que c’est parfaitement légal mais cache son écran aux yeux du CRS en question.
Les CRS parlent aux personne éxilée sans traducteurs.
Les CRS ont fait un controle d'identité sur les deux membres d'HRO présents sur le terrain.
Un CRS (celui qui a arreté les bénévoles britannique et qui a agressé l'une entre eux le 17 novembre, demande à un membre s’il a des stupéfiants sur lui, puis lui demande ses papiers et de vider ses poches. Il lui baisse son pantalon à la moitié du caleçon et lui touche l’ensemble du torse sous ses vêtements. La carte d’identité du premier membre est passé au NEO. Le CRS commence à énumérer tout haut son casier judiciaire, de façon très humiliante et demande des explications. Il demande ensuite l’adresse du membre HRO en question, puis son travail et entre dans les détails. Un autre CRS ne cesse de se placer à côté d'elle pour regarder son téléphone. Elle doit alors dire qu’elle documente la situation et que c’est parfaitement légal mais cache son écran aux yeux du CRS en question.
Les CRS parlent aux personne éxilée sans traducteurs.