Jordane G. affirme qu’un policier lui a mis un coup de genou au visage, puis un coup de poing, alors qu’il se trouvait en cellule. « Le policier saisit ma nuque avec ses deux mains, prend son élan et me met un énorme coup dans la tête avec son genou droit ». Malgré ses demandes répétées, il a dû attendre plus de quinze heures pour voir un médecin. Le parquet de Créteil a saisi l’IGPN. (Médiapart)