Après la mort de Thomas à Crépol, les noms et adresses de huit suspects, vraisemblablement extraits des fichiers de police, sont diffusés par des militants d'extrême droite et retrouvés sur les téléphones des participants à la descente raciste dans le quartier de la Monnaie. Seuls les noms à consonance arabes ont fuité, tandis que les noms à consonance dite "française" n'ont pas été diffusés, laissant penser à une motivation raciste. Le parquet de Valence a ouvert une enquête.