Un policier donne un coup-de-poing au visage d'une femme pendant une tentative d'interpellation d'une personne exilée au sol. Un second policier le frappe du pied au visage. Emploi de la force disproportionné.
Les coups portés ne sont pas strictement "nécessaires ni proportionné" comme imposé par la loi, en ce que d'autres moyens moins violents (temporiser, mobiliser les autres policiers, maintien à distance...) étaient disponibles pour procéder à l'interpellation.
Mardi 20 juin, de jeunes étrangers en recours de minorité ont planté leurs tentes devant le Conseil d’État avec le soutien de quatre structures associatives. Alors qu’ils espéraient obtenir un abri, ils ont été violentés par les forces de l’ordre en milieu de soirée.