Une femme de 35 ans déshabillée intégralement par cinq policiers et laissée nue dans sa cellule pendant sa garde-à-vue. Deux enquêtes ouvertes par l'IGPN et la Procureur.
Dans la nuit, elle aurait été extraite de sa cellule revêtue d’une couverture de survie pour se voir signifier ses droits par un officier de police judiciaire, rapporte son avocate à l'audience.
Si le procès verbal indique que les policiers ont agit "afin qu'elle ne se blesse pas" après que la femme ait mimé des gestes de strangulation, les conditions de la garde à vue ne peut atteindre à la dignité de la personne. En cas de danger pour soi-même, elle peut se poursuivre dans des locaux hospitaliers