Nombreux coups de matraque et gazeuze lacrymogène par les policiers pour faire reculer le service d'ordre de Solidaire, sans menace ou interpellation. Emploi de la force disproportionné.
Selon le journaliste sur place, les policiers voulaient faire reculer les syndicats pour fermer la place avant l'arrivée du cortège. « La ligne [du service d'ordre] n'a eu aucun comportement agressif envers les policiers. J'ai rarement vu une telle violence contre des militants syndicaux », commente-t-il.
La Préfecture du Rhône indique que "les syndicats auraient empêché les forces de l'ordre d'interpeller des individus violents et protégeaient ceux qui envoyaient des projectiles sur les policiers."