Pour la juge d'instruction en charge des poursuites, la grenade lacrymogène a "percuté violemment l'oeil gauche de Manuel C., sans qu'il puisse l'éviter et l'anticiper, entraînant la perte irrémédiable de son œil". "Un tir tendu n'avait pas sa place dans le cas d'espèce, Manuel C. n'exerçant aucune voie de fait envers les forces de police et étant en retrait des manifestants violents", estime-t-elle.