tabassé par un groupe de policiers de la BAC. D'après un témoignage audio de son frère qui m'a contacté, il a été emmené au commissariat et a ensuite été déposé à l'hôpital : « Traumatisme crânier, arcade et nez ouverts , bras cassé, doigts cassés, côté cassée et genoux félé
La complexité et multiplicité des moyens policiers répressifs (charges, foule, gaz…) compliquent souvent l'identification par les victimes de la cause de leur blessure.